Ce matin-là, mon fils Julien m’a demandé de me porter garante pour le prêt immobilier de son couple. Entre la peur de le décevoir et la crainte de tout perdre, j’ai dû affronter mes propres limites et les tensions familiales qui en ont découlé. Cette histoire raconte comment un simple « oui » ou « non » peut bouleverser toute une famille.
Je m’appelle Camille, et ce soir-là, tout a basculé autour d’une table de famille. Mon mari, Julien, a enfin compris que le soutien parental ne se mesure pas toujours en chèques ou en héritages, mais parfois en gestes simples, en présence et en amour discret. Ce choc des cultures familiales a révélé nos blessures, mais aussi la force de nos liens.
Je suis confrontée à un dilemme déchirant : mon fils, malgré son âge adulte et sa propre famille, continue de dépendre financièrement de nous. Chaque demande d’aide me plonge dans un tourbillon d’émotions contradictoires, entre l’amour maternel et le besoin de le voir s’émanciper. La situation met à rude épreuve notre relation familiale et me pousse à m’interroger sur les limites de mon soutien.
