Une vie à côté de la mienne : « Je voulais vivre pour moi, pas seulement pour mon fils et mes petits-enfants »
Je m’appelle Françoise. J’ai 68 ans, et ce matin, devant la fenêtre embuée de mon appartement à Nantes, j’ai compris que je n’avais jamais vécu pour moi. Toute ma vie, j’ai couru après les besoins des autres, oubliant mes propres rêves. Aujourd’hui, je me demande s’il n’est pas trop tard pour changer.