À cinquante ans, j’ai compris trop tard qu’il y a des vérités à taire, même en famille
À cinquante ans, j’ai appris à mes dépens que tout ne se partage pas, même avec ceux qu’on aime. J’ai voulu croire à la transparence absolue, mais j’ai vu ma famille se fissurer sous le poids de mes confidences. Aujourd’hui, je me demande si le silence n’est pas parfois la plus grande preuve d’amour.