Quand les rêves s’effacent dans le silence du salon
J’ai grandi dans une cité grise de la banlieue parisienne, rêvant de scène et de projecteurs. Aujourd’hui, ma petite-fille ne sait même pas que j’ai chanté, que j’ai aimé la musique plus que tout. Entre les non-dits familiaux, les renoncements et la routine, je me demande : comment ai-je pu laisser mes rêves s’éteindre sans bruit ?