Les larmes sans fin de l’appartement 3B : Avons-nous fermé les yeux trop longtemps ?
Je m’appelle Claire, et je vis encore hantée par les pleurs d’un enfant dans l’appartement 3B de notre immeuble à Lyon. Pendant des années, j’ai entendu ces cris, partagé mes doutes avec mes voisins, mais la peur et la honte nous ont tous retenus d’agir. Aujourd’hui, je me demande chaque jour : aurions-nous pu sauver cet enfant si nous avions eu le courage de parler plus tôt ?