« Prisonnier chez moi : Vivre avec un parent envahissant à 40 ans »
À 40 ans, je vis encore avec mon père envahissant. Je rêve d’indépendance et d’une vie qui m’appartient, mais la culpabilité de le laisser seul me retient dans une existence que je n’avais jamais imaginée pour moi-même. Malgré mes rêves de fonder une famille et de profiter des week-ends avec des amis, je passe tout mon temps libre avec lui, de peur de le décevoir. Toute ma vie s’est déroulée sous son toit, et m’en libérer semble impossible.