Je m’appelle Sarah, mère d’une fille brillante, Camille. Un soir, tout a basculé lorsque Camille nous a confrontés sur la situation précaire de son petit ami, Thomas, qui risquait de se retrouver à la rue. Entre amour maternel, préjugés sociaux et tensions familiales, j’ai dû affronter mes propres contradictions et celles de mon mari.
Je m’appelle Julien, fils d’un éboueur parisien. Chaque matin, avant même que la ville ne s’éveille, je lutte contre la fatigue, la honte et la peur de l’avenir. Entre la perte de mon père, la maladie de ma mère et les regards des autres, je me bats pour garder espoir et dignité.
Je m’appelle Camille, j’ai 23 ans, et depuis toujours, ma mère décide pour moi. Un soir, tout a explosé lors d’un dîner de famille, révélant des blessures profondes et des secrets tus. Aujourd’hui, je me demande si je saurai un jour vivre pour moi-même, sans la peur de décevoir.
Je m’appelle Émilie, et aujourd’hui, je me retrouve face à la tempête que traverse ma fille Sarah. Je n’ai jamais voulu qu’elle se précipite dans le mariage, ni qu’elle devienne mère si tôt, mais elle n’a écouté ni mes conseils ni mes inquiétudes. Maintenant, je me demande si mon absence d’insistance n’a pas été une erreur, alors que je la vois s’effondrer sous le poids de ses propres choix.
Je m’appelle Émilien, j’ai dix-sept ans, et ce soir, j’ai décidé de bouleverser les codes. J’ai invité ma arrière-grand-mère, Jeanne, à mon bal de terminale, pour lui offrir la soirée qu’elle n’a jamais eue. Entre regards étonnés, souvenirs douloureux et éclats de rire, cette nuit a changé nos vies.
Je m’appelle Camille, et cette nuit-là, j’ai plongé dans une baignoire au beau milieu de la rue avec mes amis, défiant la routine et les regards. Ce moment d’insouciance a réveillé des souvenirs douloureux, des secrets familiaux et la peur de ne jamais être vraiment libre. Entre rires, larmes et bulles de savon, j’ai compris que parfois, il faut oser l’absurde pour affronter ses propres chaînes.
Je m’appelle Éric. J’ai quitté la maison familiale trop tôt, rêvant de liberté, mais j’ai vite compris que l’indépendance a un prix. Quand la vie m’a frappé de plein fouet, j’ai découvert que l’indifférence de ma mère, Barbara, pouvait être plus douloureuse que la pauvreté elle-même.
