Quand ta propre fille te désigne coupable : Confession d’une mère française
Je m’appelle Magali. Abandonnée par mon mari quand ma fille Lucie n’avait que deux ans, j’ai tout sacrifié pour elle. Aujourd’hui, à 52 ans, elle m’accuse devant toute la famille de lui avoir volé sa vie et son avenir, et je me demande où j’ai failli.