Après la tempête : Recommencer à quarante-huit ans dans un village inconnu
Je me souviens du claquement sec de la porte, du regard froid de Camille, la fille de mon défunt mari, et de la sensation de vide qui m’a envahie. Jetée dehors par ceux que je croyais être ma famille, j’ai dû tout recommencer, seule, dans un village où personne ne me connaissait. Mais c’est au cœur de cette solitude que j’ai découvert la force de l’amitié, la solidarité des inconnus et la possibilité d’une renaissance.