Je m’appelle Claire, mère de deux enfants à Lyon. J’ai fui le poids de la routine familiale et l’indifférence de mon mari, laissant mes enfants chez ma mère. Aujourd’hui, je me demande où finit la patience et quand viendra mon tour d’exister.
Tout a basculé lors d’un déjeuner dominical, quand mon mari et ma belle-mère ont décidé que je devrais garder la nièce de la famille, sous prétexte que j’étais « de toute façon en congé maternité ». J’ai refusé, épuisée par mes deux jeunes enfants, mais depuis, on me regarde comme une égoïste. Aujourd’hui, je me demande où finit l’entraide familiale et où commence l’exploitation.
Je m’appelle Claire, et le jour où je suis rentrée de la maternité avec ma fille, j’ai découvert que la vie ne ressemble jamais à ce qu’on imagine. Entre un mari dépassé, une maison sens dessus dessous et l’absence de tout ce dont un bébé a besoin, j’ai dû affronter mes propres limites. Cette nuit-là, j’ai compris que la force naît souvent de la vulnérabilité.
Je suis Camille, et cette nuit-là, mon mari Antoine m’a demandé de partir avec notre fille, Léa, chez mes parents. Épuisée par les cris de notre bébé et la fatigue, j’ai vu notre couple s’effriter sous le poids de la maternité. Ce récit est celui d’une femme qui se bat pour sa famille, mais qui se demande si l’amour peut survivre à l’épreuve du quotidien.
Je m’appelle Isabelle, j’ai 45 ans, et alors que je rêvais enfin de liberté, ma fille Camille est revenue vivre chez moi avec sa petite fille. Entre amour maternel, fatigue et conflits quotidiens, je me retrouve à revivre des angoisses que je croyais derrière moi. Cette histoire est celle d’une femme prise au piège entre ses propres besoins et ceux de sa famille.
Je m’appelle Julien. En l’espace d’une nuit, ma femme et ma belle-mère ont accouché à quelques heures d’intervalle. Depuis, je me bats chaque jour pour soutenir deux femmes fragilisées et deux nourrissons, tout en affrontant les non-dits et les tensions familiales qui menacent de tout faire exploser.
J’ai pris la décision de remplacer ma femme, Camille, en congé parental, pensant l’aider à surmonter son épuisement. Mais au lieu de sauver notre couple, j’ai découvert mes propres failles et la complexité de la vie quotidienne à la maison. Ce récit est une plongée dans mes doutes, nos disputes et la quête douloureuse de compréhension mutuelle.
