Je n’aurais jamais cru entendre un jour ma fille me dire que je n’étais pas la bienvenue à son mariage. Pendant trente ans, j’ai été plus qu’une mère pour Camille, sa confidente, son amie, son refuge. Aujourd’hui, je me retrouve seule, à questionner tout ce que j’ai fait et ce que j’aurais pu faire autrement.
Je m’appelle Hélène et jamais je n’oublierai le moment où ma fille, Marie, m’a dit qu’elle ne voulait pas de moi à son mariage. C’est l’histoire d’une mère qui se confronte à ses erreurs, à la douleur de la rupture familiale et à la quête d’un pardon qui semble impossible. J’écris pour comprendre où nous nous sommes perdues, et si l’amour peut survivre à tant de blessures.
Je m’appelle Camille, j’ai 34 ans, et cela fait trois mois que je n’ai pas adressé la parole à ma mère. J’ai coupé tout contact, bloqué son numéro, cessé de répondre à ses messages, et pourtant, chaque jour, la culpabilité me ronge. Mon mari, Julien, insiste pour que je fasse le premier pas vers la réconciliation, mais comment pardonner quand les blessures sont encore si vives ?
Je m’appelle Françoise, j’ai 62 ans, et aujourd’hui, j’ai osé dire non à ma fille unique, Nora. Depuis la naissance de mon petit-fils, j’ai tout donné, mais je me suis perdue en chemin. Ce récit est celui d’une mère qui a dû poser ses limites pour ne pas s’oublier.
Je m’appelle Claire, veuve à trente-six ans, mère d’une adolescente en colère. Après la mort soudaine de mon mari, j’ai tenté de reconstruire ma vie et de retrouver l’amour. Mais le bonheur retrouvé s’est heurté à la douleur de ma fille, qui refuse d’accepter mon nouveau compagnon.
