J’ai accepté que ma petite-fille, Camille, vienne vivre chez moi pour ses études à Paris. Mais très vite, la tendresse a laissé place à l’incompréhension et je me suis retrouvée étrangère dans mon propre appartement. Aujourd’hui, je me demande comment l’amour familial peut se transformer en distance et en silence.
Je m’appelle Françoise. Après la mort de mon mari, ma belle-fille m’a proposé de venir vivre chez eux. Mais je n’imaginais pas que cela signifiait sacrifier ma liberté pour devenir la nounou de mes petits-enfants, sans jamais oser dire non.
Je m’appelle Marie, j’ai consacré ma vie à ma famille dans un petit village bourguignon. Quand ma belle-fille Claire a commencé à me traiter comme une domestique, tout ce que j’avais construit s’est effondré. Entre les odeurs de soupe aigre et mes larmes silencieuses, j’ai dû trouver la force de me défendre et de retrouver ma dignité.
