Partir, c’est trahir ? Mon départ et le silence de ma sœur
Je me revois encore, valise à la main, le cœur battant, fuyant la ferme familiale et le regard blessé de ma mère. Ma sœur a crié que j’étais égoïste, mais je savais que je devais partir pour exister. Aujourd’hui, je me demande si on peut vraiment choisir sa liberté sans blesser ceux qu’on aime.