« Apporte les petits-enfants, mais n’oublie pas ton portefeuille » – La douloureuse vérité des réunions familiales à l’ombre de la vieillesse
Je m’appelle Madeleine, j’ai 72 ans, et j’ai longtemps rêvé d’une maison pleine de rires et de vie. Aujourd’hui, je me sens invisible, reléguée au rôle de grand-mère pratique, bonne à garder les enfants et à sortir la carte bleue. Entre solitude, désillusion et espoir, je me demande ce qu’il reste vraiment de l’amour familial.