Je m’appelle Françoise, et l’année dernière, j’ai pris une décision qui a bouleversé toute ma famille : j’ai refusé de garder ma petite-fille. Après des années à m’oublier pour les autres, j’ai voulu penser à moi, mais ce choix a déclenché une tempête de reproches et de non-dits. Aujourd’hui, je me demande si on a vraiment le droit de choisir sa vie sans être jugée par ceux qu’on aime.
Je suis Hélène, une mère partie travailler à Genève pour offrir une vie meilleure à ma famille restée à Lyon. Un soir, j’ai découvert que mon mari me trompait et que mes fils me cachaient la vérité. Cette trahison a bouleversé ma vie, m’obligeant à remettre en question tous mes sacrifices et la notion même de famille.
Je m’appelle Magali, j’ai 28 ans, et ce soir, mon monde s’effondre. Mon mari, Damien, veut que son fils de huit ans, Benoît, vienne vivre avec nous. Je l’aime, mais je ne peux pas accepter cette idée sans me perdre moi-même.
Je m’appelle Victoria. Il y a quelques années, quand mon mari Paul a perdu son emploi, sa mère, Françoise, nous a tourné le dos. Aujourd’hui, alors qu’elle est gravement malade et que nos finances sont au plus bas, c’est à nous qu’on demande de l’aider.
Je m’appelle Françoise et tout mon univers a basculé le jour où mon fils Julien a décidé d’épouser Samira, une femme déjà mère d’une petite fille. Entre la peur de perdre mon petit-fils Paul et la difficulté d’accepter cette nouvelle famille recomposée, je me débats avec mes sentiments contradictoires. Cette histoire est celle de mes luttes intérieures, de mes maladresses, et de ma quête d’un chemin vers la paix.
Je raconte comment, après avoir été exclue du mariage de ma cousine, ma famille a soudainement voulu utiliser mon appartement pour la fête, invoquant les liens du sang. Déchirée entre le désir d’être aimée et la nécessité de me protéger, j’ai dû affronter mes proches et leurs attentes. Cette histoire explore la douleur de l’exclusion, la difficulté de poser des limites et la question de la confiance au sein de la famille.
Je m’appelle Françoise, et le jour où mon fils Julien a quitté sa femme, mon univers s’est effondré. Entre les disputes familiales, les non-dits et la culpabilité qui me ronge, je revis chaque instant en me demandant où j’ai failli. Cette histoire est celle de mes regrets, de mes erreurs et de la question lancinante : qui est vraiment responsable de la rupture de notre famille ?
Je m’appelle Claire et ma vie a basculé le jour où mon frère et sa famille se sont installés chez nous, sans prévenir et sans intention de repartir. Mon mari et moi avons vu notre intimité, notre paix et même notre couple s’effriter sous le poids de cette cohabitation forcée. Aujourd’hui, je me demande comment retrouver ma place chez moi, et surtout, comment oser dire non à ceux qu’on aime.
Je m’appelle Stéphanie et je me bats chaque jour contre l’absence de Kévin, mon mari, qui préfère le confort de sa mère ou la chaleur de son bureau à notre vie de famille. Entre les pleurs de notre fille et le silence pesant de notre appartement à Lyon, je me demande si l’amour suffit à combler le vide qu’il laisse derrière lui. Mes amies me disent d’attendre la fin de mon congé maternité, mais combien de temps peut-on attendre avant que le cœur ne se brise pour de bon ?
Je m’appelle Camille, j’ai trente-trois ans, et je croyais que la famille était un refuge. Le jour où mon fils est né, mes parents, qui avaient juré de m’aider, se sont volatilisés. Entre colère, solitude et incompréhension, j’ai dû réapprendre à vivre, à aimer et à pardonner.
Je suis Céline, mère célibataire de deux garçons, et aujourd’hui, mon fils aîné, Thomas, veut se marier à vingt ans et revenir vivre chez nous avec sa fiancée. Entre la peur de l’étouffer et celle de le perdre, je me débats avec mes propres limites et mes rêves brisés. Cette histoire est celle d’une mère qui doit choisir entre son amour maternel et sa propre survie émotionnelle.
Tout a commencé par un appel en pleine nuit, sous la pluie battante, où j’ai compris que je n’étais plus qu’une solution de secours pour mon fils. À travers le récit de la distance familiale, du divorce et de la douleur, je cherche à comprendre comment nous en sommes arrivés là. Ma petite-fille Zoé n’est coupable de rien, mais comment oublier que je me suis éloignée de mon propre fils ?
