Après soixante ans, j’ai apprivoisé la solitude… jusqu’à ce que Pierrick réapparaisse au détour d’un arrêt de bus
Après la soixantaine, je croyais que la solitude était devenue mon unique compagne. Mais un matin gris à l’arrêt de bus, une voix familière a réveillé en moi des souvenirs enfouis et des émotions que je croyais mortes. Ce fut le début d’un bouleversement inattendu, entre espoir et peur de tout perdre à nouveau.